lundi 30 septembre 2013

Les plantes invasives en Bizkaye







       Problèmes: 

 Les biodiversités d’Europe sont menacées par de nouvelles espèces, dites invasives. Avec l’augmentation des échanges internationaux et de la mobilité, le réchauffement climatique et l’ouverture des marchés, ces animaux, plantes ou micro-organismes se répandent et prennent peu à peu le pas sur les espèces endémiques de nos régions. Les risques : disparition d’espèces locales, mais aussi menaces sur notre santé et notre économie.1 Les biodiversités d’Europe sont menacées par de nouvelles espèces, dites invasives. Avec l’augmentation des échanges internationaux et de la mobilité, le réchauffement climatique et l’ouverture des marchés, ces animaux, plantes ou micro-organismes se répandent et prennent peu à peu le pas sur les espèces endémiques de nos régions. Les risques : disparition d’espèces locales, mais aussi menaces sur notre santé et notre économie. 2 



                                                            Solutions:
L’élimination sera réalisée en utilisant la méthode : arrachagedes individus + brûlage (méthodes de lutte manuelle).

  
Pour limiter son développement, il faut couper les plumeaux avant la dissémination des graines pour éviter leur dissémination.
Il faut également arracher les plants en faisant bien attention d’enlever toutes les racines.





                                    Bibliographie:


Site 1: PPUR-La Science en livres
Consulté: 05/10/13

Site 2: Témoignage
Site 3: Le nouveau canard de chênaies
Consulté: 05/10/13

Consulté: 05/10/13



lundi 23 septembre 2013

Toujours plus de déchets


L’augmentation de la consommation et le changement de style de vie, font que les richesses naturelles du sol sont chaque jour un peu plus exploitées
L’augmentation de la consommation a également provoqué une augmentation des déchets au point que certains n’hésitent pas à comparer les ordures à une maladie qui peut en terminer avec la planète terre: l’infarctus des déchets.

Mais qu'appelle-t-on déchet?

Tout produit qui après avoir été fabriqué, touché ou utilisé perd de sa valeur pour la personne qui le possède.
Le niveau économique de chacun va conditionner la valeur que l’on donne à chaque chose et le plus ou moins long usage que l’on va en faire.
Le concept de déchet, est donc très relatif, puisque on peut considérer déchet quelque chose qui ne l’est pas pour le voisin.

Et l'évacuation de nos déchets pose problème d'autant plus que les quantités ne cessent d'augmenter.
De tous les résidus produits dans la ville, ceux qui sont le plus en relation avec notre propre consommation, sont ceux que l’on trouve dans notre sac poubelle.


L’agriculture en question

 

Dans la mesure ou nous obtenons les aliments de la terre, l’agriculture et l’élevage sont la base de notre culture, notre civilisation.

Tout au long du 20eme siècle, les agriculteurs/agricultrices des pays industrialisés se sont lancés dans la course folle de la productivité, en ayant recours, chaque fois un peu plus à l’usage de machines agricoles et de carburant, d’engrais chimiques, de pesticides…C’est la « Révolution verte ».

Ces systèmes intensifs de production ont contribué à améliorer notre niveau de vie, cependant le revers de la médaille est peu brillant : sols dégradés, eaux contaminées, perte de la biodiversité, aliments avec des résidus dangereux pour notre santé.

La globalisation impose ces modèles de production intensive à l’ensemble de la planète, et de nombreux agriculteurs sont dépossédés de leur terre et se voient obligés à émigrer vers la « terre promise ». Cette situation provoque la perte de la vie rurale et sa culture, la pauvreté et la faim dans le monde.



Agriculture et faim monde

  







Dans les 50 dernières années, la technologie moderne est parvenue à tripler la production céréalière mondiale et malgré cela plus d’1 milliard de personnes souffrent de la faim, 30 millions en meurent chaque année.
L’explosion démographique a surpeuplé la planète avec 6 milliards de personnes et une augmentation annuelle de 95 millions, alors que la surface cultivable est en train de se réduire avec la progression du désert.
Obtenir que la population mondiale se stabilise et qu’elle se nourrisse convenablement est sans aucun doute le grand défi de notre planète.
L'agriculture intensive est aujourd'hui fortement remise en question et ce n'est pas sans raison. Dégradation du paysage et du sol, procédés contestables de culture et d'élevage, mondialisation et appauvrissement de pays déjà en difficulté, mais aussi risques alimentaires réels.
Derrière cette agriculture intensive se cachent des enjeux économiques énormes, et le marché mondial est contrôlé par les grandes industries de l'agrochimie, propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences.